MOLWICK

Origine de la force et du champ électromagnétique

Unification de la force électromagnétique avec l'interaction gravitationnelle. Concept de force et champ électromagnétique par torsion de la structure de la matière.

Couverture du PDF de La Mecanique Globale. Galaxy M81.

LA MECANIQUE GLOBALE

PHYSIQUE GLOBALE

Auteur: José Tiberius

Technical assistant:
Susan Sedge, Physics PhD from QMUL

 

 

2.c.3. Force et champ électromagnétique

En parlant des propriétés des ondes de la lumière je commentais que le concept de photon serait bien mieux compris une fois vu le modèle complet et, plus spécialement, cette partie de la physique de l’électromagnétisme. Ceci est certain mais ce qui l’est aussi, c’est que pour comprendre la force électromagnétique ou le champ électromagnétique dans la Mécanique Globale, il est nécessaire de connaitre le concept d’onde électromagnétique et ceci est la raison pour l’avoir expliqué en avance.

Ether global Champ électromagnétique
Dessin de l'Ether Global comme soutien indirect du champ électromagnétique.

On pourrait prédire la même chose de la force et du champ électromagnétique en relation avec le modèle de l’atome, et comme on ne peut pas expliquer toute la Théorie du Tout en même temps, nous verrons le modèle atomique plus tard.

La première chose qu’il faut faire ressortir c’est que le nouveau concept d’onde électromagnétique est une étape dans l’unification des interactions gravitationnelles et électromagnétiques. Autant le champ de gravité que le champ électromagnétique sont des effets de l'Ether Global et de ses propriétés de rigidité, élasticité, etc.

Selon Wikipédia, l’unification de la force gravitationnelle avec la force électromagnétique ne consiste pas en une Théorie de Grande Unification (TGU) parce qu’elle n’unit pas les forces fondamentales électrofaibles (nucléaire faible et électromagnétique) avec l’interaction nucléaire forte. Ce ne serait pas non plus une Théorie du Tout (TOE pour Theory of Everything) parce qu’elle n’inclut pas la force gravitationnelle avec les trois précédentes. Alors nous dirons que c’est une Théorie de Seconde Unification ou de Mini Unification car elle ajoute la gravitation au modèle mais il lui manque la force nucléaire forte.

Cependant, ce n’est pas exactement comme ça, vu que ce n’est pas qu’elle ajoute ou unifie une force mais que réellement, elle reconfigure les trois forces impliquées. D’un autre côté, la troisième unification se fait dans la partie sur le nouveau modèle de l’atome de la Mécanique Globale, pour lequel on peut dire qu’il s’agit d’une Théorie du Tout.

D’un autre point de vue, en intégrant l’interaction gravitationnelle, ce que fait la Mécanique Globale, c’est plus de rétablir les concepts de temps et d’espace, revenant à une géométrie euclidienne classique, ce qui inévitablement amène à des précisions sur la définition de la vitesse et le concept de mouvement, comme on peut le vérifier dans le livre de la Dynamique Globale. En définitive, plus que l'unification, il semble que la Physique Globale est une interprétation conjointe et compatible de la Théorie de la Relativité et de la Mécanique Quantique.

Si l’interaction gravitationnelle se base sur l’élasticité et la rigidité dans la courbure longitudinale de la structure réticulaire de la matière ou Ether Global, l’interaction électromagnétique se base sur l’élasticité transversale de ladite tension longitudinale. C’est-à-dire que les deux interactions coexistent dans l'Ether Global.

L’Ether Global supporte le champ de gravité, ce qui, à son tour, est le milieu support de l'énergie électromagnétique ou Ether LUM (luminifère, universel et mobile).

Le champ électromagnétique produit la rupture de la symétrie gravitationnelle pure crée par la masse.

La différence de concept réside dans la cause de la génération des champs et dans l’orientation spatiale de la transmission d’énergie ou force.

Un autre aspect important est la relation entre champ électromagnétique et onde électromagnétique, c’est-à-dire, même si les particules avec charge électrique en mouvement produisent des champs de forces, l’existence de ces particules en mouvement n’est pas nécessaire pour permettre l’existence de champs électromagnétiques.

Par ailleurs, les électrons sont la conséquence de la différence de potentiel électromagnétique ou torsion de l'Ether Global, qui sont relaxées par la création de ces particules, mais nous verrons cela plus en détails au moment de parler de la masse et de la configuration de l’atome.

Une des nouveautés de la Mécanique Globale le plus remarquable est référence au concept de champ électromagnétique, de comment ils se génèrent et s’annulent ou se relaxent.

Nous allons voir à continuation chacun de ces éléments :

  • Concept de champ électromagnétique

    C’est un champ de force similaire au champ gravitationnel mais dû à les forces transversales de torsion au lieu des longitudinales. La force électromagnétique n’annule pas la force gravitationnelle, comme on peut la vérifier chez soi avec un aimant.

    Comme pour la tension longitudinale, le processus de torsion nécessite une compensation mécanique, c’est-à-dire, si en un point s’initie dans une direction une force de torsion perpendiculaire à celle-ci vers la droite, dans la même direction mais dans le sens contraire il doit s’initier une torsion perpendiculaire à celle-ci mais vers la gauche.

    Il faut penser que les forces dans la Mécanique Globale sont de nature purement mécanique dérivées de l'énergie élastique ; cela serait une perspective de plus du Principe de Conservation Globale, et il ne peut pas y avoir de forces spirituelles ou d'autres mondes. D'une certaine manière, elle est équivalente à la troisième loi de Newton d'action-réaction, bien que cette nomenclature puisse se révéler confuse ou dérouter par rapport aux effets réels dans des cas concrets, comme on le commentera dans le livre de la Dynamique Globale.

    On dit qu’on est arrivé expérimentalement à la conclusion qu’il n’existe pas de monopôles parce que les lignes du champ magnétique sont fermées, ce qui est connu comme la loi de Gauss pour le champ magnétique. Il est certain qu’elles sont fermées même si leur parcours peut être long, mathématiquement parlant, il suffit de dessiner un champ de forces électromagnétiques pour voir que si nous le dessinons entier, il sortira surement de la feuille de papier et peut-être se fermeront-elles avant de revenir dans le papier par d’autres champs magnétiques.

    Il est peut-être plus logique de dire que la raison de la non existence des monopôles dans l'interaction électromagnétiques n’est pas la fermeture des lignes mais parce que toujours ont dû s’ouvrir deux lignes dans le sens contraire qui s’autoalimentaient. En d'autres termes, quand se  rompt une symétrie, une symétrie de rang inférieur se met en place.

  • Génération du champ électromagnétique.

    Les photons créent des champs de force électromagnétique, car les filaments de l'Ether Global acquièrent la torsion qui définit ces champs avec la propagation des photons.

    En plus, moins les ondes qui créent le champ électromagnétique pourront se dissiper, plus il sera grand. Si on tourne une corde à un de ses extrêmes, en ayant l'autre fixé, on pourra observer comment elle acquière la torsion typique en fonction de son élasticité.

    Les particules élémentaires de l’état d’agrégation de la matière correspondant à la masse sont une deuxième cause de la génération des champs électromagnétiques ; c’est-à-dire particules avec masse mais seulement les particules stables avec la caractéristique spéciale de posséder une charge électrique provoquent un champ électromagnétique statique.

    En définitive, le champ électromagnétique statique indique une torsion des filaments de l'Ether Global.

    Naturellement, une torsion dans une direction se verra compensée par une tension contraire dans l’autre sens, le noyau fait les tours du point de départ de la torsion que je commentais plus haut. Et maintenant, nous verrons comment en parlant de la création de la masse, il a deux types de torsion, dextrogyre et lévogyre, qui seraient les causes théoriques des propriétés des charges électriques négatives et positives, bien qu’elles ne se correspondent pas exactement.

  • Annulation de la tension transversale

    • Expérience physique simple avec une corde.

      Si avec une des cordes dont un des extrêmes est fixé, nous réalisons à l'autre extrême une torsion transversale à gauche et ensuite une autre à droite, nous nous retrouverons sans tension dans la corde, évidemment, elle s’est annulée.

      Il se passera la même chose si nous unissons par leur extrême libre deux cordes avec un extrême fixé et avec une tension opposée, la tension des deux disparaitra aussi.

    Relaxation
    de la tension transversale
    Relaxation de la tension transversale de l'Ether Global.

    Comme je l’ai dit antérieurement, il faut distinguer les protons ou particules stables avec charge qui produisent le champ magnétique, et les électrons qui sont créés par le champ magnétique dans le processus de relaxation de la tension transversale, pour atteindre le maximum de tension transversale supportable par les filaments de l'Ether Global et provoquer une demi-boucle.

    Ce mécanisme nous le verrons plus en détails dans la page correspondante sur le modèle atomique de ce même livre en ligne de la Mécanique Globale.

    Comme on l'expliquera, ce mécanisme est la raison de l'existence des électrons comme celle des ondones et cela peut se vérifier facilement.

    • Expérience physique maison avec une gomme élastique.

      Si on tient une barre élastique ou une gomme élastique et qu’on la tourne par les extrêmes, alors on observera que, avec une torsion suffisante il se produit une boucle au milieu de la barre ou gomme et on sentira que la force transversale diminuera dans les deux extrêmes maintenus dans chaque main juste au moment de la création de la boucle.

    La boucle complète provoquée par les ondes électromagnétiques implique un changement de nature de la tension, de transversale, elle passe en partie à de l'énergie de déformation réversible et en partie à de la tension de la courbure longitudinale produite.